Prioriser les urgences...
Rahh, je déteste quand l'informatique commence à déconner. J'avais écrit un article, qui n'a pas été pris en compte, même après enregistrement, et en laissant un commentaire dans un article de Postite, il s'est avéré après coup que je l'avais effacé. Et cet article, particulièrement, m'était systématiquement refusé par over-blog sous forme de copier coller. Je dois être un vrai boulet!
Je disais donc, prioriser les urgences. Ce qu'il y a de bien quand on travaille dans l'évènementiel, c'est que ça permet de se refaire toute son échelle personnelle des urgences. Obligé, en fait, pas le choix de faire autrement! C'est à dire que là, où, naïvement, vous comptabilisiez vos dossiers dans les catégories "en cours", "à traiter" et "urgence", vous ne vous trouvez soudainement nez à nez avec une seule et unique pile, baptisée URGENCES.
Rassurez-vous l'évènementiel change votre façon de vous organiser. Maintenant j'envisage les dossiers de la manière suivante: les urgences d'une part (oui, directement, parce que si ça n'est pas une urgence sur le moment, le temps que vous ayez l'occasion de vous y mettre, elle est devenue franchement urgente!), les super urgences de l'autre (c'est-à-dire les urgences sont à la limite d'être dépassées par les évènements eux-mêmes...) et enfin, les ultra urgences.
Alors ça, les ultra urgences, c'est un concept à part entière. Se dit d'un dossier plus ou moins merdique dès le début, et qui subitement se met à déconner (de préférence après avoir été totalement bordé, vérifié et revérifié). Soyez gentils de relever au passage la corrélation étroite qui mène invariablement à Murphy (toujours planqué en embuscade celui-là!), notre maître à tous!
Au cas où vous vous poseriez la question, il existe bel et bien un stade au-delà des ultra urgences. Du moins, toujours selon mon échelle personnalisée. Mais c'est une étape que je déteste atteindre: celle de l'indécision. C'est le moment où vous avez tellement d'ultra urgences et si peu de temps pour toutes les régler que vous vous sentez comme une andouille à ne plus savoir pas quel bout commencer.
Ce qui devient un cercle vicieux, puisque ça vous empêche d'avancer, et que, par définition, moins vous arrivez à avancer, plus vous prenez du retard dans vos dossiers plus vous êtes paumés. Un vrai serpent qui se mord la queue!
Surtout dernier conseil: éviter de trop réfléchir...^^
Je disais donc, prioriser les urgences. Ce qu'il y a de bien quand on travaille dans l'évènementiel, c'est que ça permet de se refaire toute son échelle personnelle des urgences. Obligé, en fait, pas le choix de faire autrement! C'est à dire que là, où, naïvement, vous comptabilisiez vos dossiers dans les catégories "en cours", "à traiter" et "urgence", vous ne vous trouvez soudainement nez à nez avec une seule et unique pile, baptisée URGENCES.
Rassurez-vous l'évènementiel change votre façon de vous organiser. Maintenant j'envisage les dossiers de la manière suivante: les urgences d'une part (oui, directement, parce que si ça n'est pas une urgence sur le moment, le temps que vous ayez l'occasion de vous y mettre, elle est devenue franchement urgente!), les super urgences de l'autre (c'est-à-dire les urgences sont à la limite d'être dépassées par les évènements eux-mêmes...) et enfin, les ultra urgences.
Alors ça, les ultra urgences, c'est un concept à part entière. Se dit d'un dossier plus ou moins merdique dès le début, et qui subitement se met à déconner (de préférence après avoir été totalement bordé, vérifié et revérifié). Soyez gentils de relever au passage la corrélation étroite qui mène invariablement à Murphy (toujours planqué en embuscade celui-là!), notre maître à tous!
Au cas où vous vous poseriez la question, il existe bel et bien un stade au-delà des ultra urgences. Du moins, toujours selon mon échelle personnalisée. Mais c'est une étape que je déteste atteindre: celle de l'indécision. C'est le moment où vous avez tellement d'ultra urgences et si peu de temps pour toutes les régler que vous vous sentez comme une andouille à ne plus savoir pas quel bout commencer.
Ce qui devient un cercle vicieux, puisque ça vous empêche d'avancer, et que, par définition, moins vous arrivez à avancer, plus vous prenez du retard dans vos dossiers plus vous êtes paumés. Un vrai serpent qui se mord la queue!
Surtout dernier conseil: éviter de trop réfléchir...^^
[ Mais éviter de réfléchir est un véritable art de vivre pour moi ma chère Babiole ! ]
Babiole
[ Sous-titre de Postite ]
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